SECTEUR 2 Le pointage: Notes individuelles: 1 Pays ne répond pas aux critêres d’indicateur 2 Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur 3 Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur 4 Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur 5 Pays répond à tous les critêres d’indicateur Moyenne de l’indicateur: 2.7 2.10 Les diffuseurs privés offrent un minimum de programmes de qualité et d’intérêt public. Généralement les diffuseurs privés produisent une plus grande gamme de contenus que le diffuseur public. Ils prennent la peine de refléter toutes les voix contradictoires dans des émissions variées, telles que les débats, talk-shows, les journaux télévisés ou parlés et les programmes interactifs. La concurrence a permis le développement des émissions de qualité et le traitement croissant des sujets d’intérêt public. TV+, par exemple, produit des émissions environnementales, qui traitent des sujets tels que la gestion des déchets et la pollution. Les diffuseurs privés s’impliquent aussi, en partenariat avec l’Etat et la société civile, dans les questions de santé publique, en l’occurrence les campagnes de vaccination. Malgré cette ouverture à tout le monde, les hauts fonctionnaires de l’administration boycottent souvent les radios et télévisions privés, particulièrement quand il s’agit d’intervenir sur les sujets liés aux politiques gouvernementales et la corruption. Certains panélistes affirment qu’à un moment donné, la présidence de la République en était arrivée à déclarer TV+ comme persona non grata. Le pointage: Notes individuelles: 1 Pays ne répond pas aux critêres d’indicateur 2 Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur 3 Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur 4 Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur 5 Pays répond à tous les critêres d’indicateur Moyenne de l’indicateur: 30 BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS GABON 2016 3.8