1 Pays ne répond pas aux critêres d’indicateur 2 Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur 3 Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur 4 Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur 5 Pays répond à tous les critêres d’indicateur La somme des notes individuelles pour un indicateur sera divisée par le nombre de panélistes afin de déterminer une note moyenne par indicateur. Ces notes moyennes par indicateur sont additionnées pour obtenir une moyenne par secteur qui ensuite représente la note finale d’un pays. Résultats Le rapport final est un résumé qualitatif de la discussion et indique également les notes moyennes pour chaque indicateur, secteur et la note final du pays. Dans le rapport les membres du panel ne sont pas nommés pour les protéger des répercussions négatives. Avec le temps les rapports bi-annuels ou tri-annuels mesurent le développement de l’environnement médiatique d’un pays particulier. Leurs résultats devraient former la base d’une discussion politique sur la réforme médiatique. Dans les pays, où l’anglais n’est pas la langue officielle, le rapport est une édition bilingue. La Friedrich-Ebert-Stifung (FES) et ses bureaux servent seulement comme convocateurs du panel et comme garants d’une méthodologie standardisée. Le panel est responsable du contenu de la discussion et du rapport qui ne représente pas ou ne reflète pas forcément les vues de Friedrich–Ebert-Stiftung. Fin 2008, les indicateurs ont été révisés, amendés, et de nouveaux indicateurs qui traitent des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) ont été intégrés afin de répondre au progrès rapide de ce secteur.2 Vers la fin de 2012, le Baromètre des Médias Africains avait déjà eu lieu dans 29 pays africains, dont certains d’entre eux pour la troisième fois. Mareike Le Pelley Directrice du Projet Médias en Afrique (fesmedia Africa) Friedrich-Ebert-Stiftung, Windhoek, Namibie 2 Zoe Titus Directeur Regional L’Institut des Média pour l’Afrique Australe (MISA) Windhoek, Namibie Les indicateurs ont été révisé, amandé et décalé en 2008/2009. Par conséquence, la comparaison des notes de certains indicateurs et des notes des secteurs des rapports précédentes n’est plus possible. BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS MADAGASCAR 3