SECTEUR 1

1.10 L’Etat ne cherche pas à bloquer ou à filtrer le contenu d’Internet à moins qu’il n’y ait des dispositions
légales qui servent des intérêts légitimes et qui sont
nécessaires dans une société démocratique.
Même si l’Etat en aurait l’intention, il ne dispose pas des moyens légaux pour le
faire.

Le pointage:
Notes individuelles:
1

Pays ne répond pas aux critêres d’indicateur

2

Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur

3

Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur

4

Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur

5

Pays répond à tous les critêres d’indicateur

Moyenne de l’indicateur:

4.5 (2006= n/a ; 2008 = n/a, 2010 = 4.6)

1.11 La société civile en général, et les groupes de pression des médias défendent activement la cause de la
liberté des médias.
La société civile travaille dans ce sens mais les groupes de pression sont
hétérogènes et ne s’activent que lorsqu’il y a des fermetures d’organes de presse
ou d’arrestation de journalistes.
Du côté des journalistes, en 2011 lorsque la chaîne privée de télévision TVPlus a
reçu une mise en demeure du Ministre de la Communication pour avoir publié
une information sur le séjour du Président de la transition à Maurice, lors d’une
assemblée générale de journalistes organisée à Mahamasina, des participants ont
réclamé la démission du Ministre de la Communication.
Un collectif de journalistes a publié en Avril 2012, un rapport sur l’état de la
liberté d’expression à Madagascar. Le document a, notamment, été diffusé auprès
des missions diplomatiques pour attirer l’attention sur les mauvais traitements
dont sont victimes les journalistes.

BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS MADAGASCAR

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