SECTOR 4

été créées : l’Union des Professionnels des Médias de Côte d’Ivoire (UPMCI) et
l’Organisation des Journalistes Professionnels de Côte d’Ivoire (OJPCI).
Le syndicalisme patronal n’est pas en reste. Plusieurs organisations d’éditeurs de
presse défendent les intérêts patronaux dans les négociations avec les travailleurs,
d’une part, et les pouvoirs publics, d’autre part. Les principales organisations sont
le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), la Conférence
Nationale des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire et l’Union des Patrons
de Presse pour la République (UPPR).
Créé en 1995, l’Observatoire de la Liberté de Presse, de l’Ethique et de la
déontologie (OLPED) est le premier organe d’autorégulation des médias en
Afrique. La Côte d’Ivoire a servi de modèle aux autres pays de la région.
Quant aux associations et réseaux, ils sont aussi nombreuses et diverses que les
centres d’intérêts et les rubriques des médias : sport, politique, culture, agriculture,
environnement, etc. Parmi eux, il convient de noter le Réseau des femmes
journalistes de Côte d’Ivoire et le Réseau des Professionnels de la Presse en ligne
de Côte d’Ivoire (REPPELCI).

Scores:
Notes individuelles:
1

Pays qui ne remplissent aucune condition du critère indicateur.

2

Pays qui remplissent un minimum de conditions du critère
indicateur.

3

Pays qui remplissent de nombreuses conditions du critère
indicateur, mais dont les progrès peuvent être trop récents pour
être véritablement évalués.

4

Pays qui remplissent la majorité des conditions du critère
indicateur.

5

Pays qui remplissent toutes les conditions du critère indicateur, et
ce depuis un certain temps.

Moyenne de l’indicateur:		

5.0

Note du secteur 4: 		

5.0

MOYENNE DE TOUS LES SECTEURS: 2.7

BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS Côte d’Ivoire 2009

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