2 Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur 3 Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur 4 Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur 5 Pays répond à tous les critêres d’indicateur La somme des notes individuelles pour un indicateur est divisée par le nombre de panélistes afin de déterminer une note moyenne par indicateur. Ces notes moyennes par indicateur sont additionnées pour obtenir une moyenne par secteur qui ensuite représente la note finale d’un pays. Résultats Le rapport final est un résumé qualitatif de la discussion et indique également les notes moyennes pour chaque indicateur, secteur et la note final du pays. Dans le rapport les membres du panel ne sont pas nommés pour les protéger des répercussions négatives. Avec le temps les rapports trisannuels ou quadriennaux mesurent le développement de l’environnement médiatique d’un pays particulier. Leurs résultats devraient former la base d’une discussion politique sur la réforme médiatique. Dans les pays, où l'anglais n'est pas la langue officielle, le rapport est une édition bilingue. La Friedrich Ebert stiftung et ses bureaux ont seulement conviés le panel et servent de garants d’une méthodologie standardisée. Le panel est responsable du contenu de la discussion et du rapport qui ne représente pas ou ne reflète pas forcément les points de vue de la Friedrich-EbertStiftung. En 2009 et encore en 2014 les indicateurs ont été retouchés, renouvelés: on a ajouté de nouveaux indicateurs et quelques uns ont été remplacés.1 D’ici fin 2016, le BMA aura eu lieu dans 31 pays africains, dont pour la cinquième fois pour certains d’entre eux. Zoe Titus Directeur Regional Institut des Médias d’Afrique du Sud Windhoek, Namibie 1 Sara - Nathalie Brombart Directrice du projet fesmedia Africa Friedrich-Ebert-Stiftung Windhoek, Namibie Par conséquent, la comparaison des notes de certains indicateurs et des notes des secteurs des rapports précédents n’est plus possible. BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS MADAGASCAR 2016 3