SECTOR 1 estiment que dans la plupart de leurs tâches professionnelles cette carte n’est pas nécessaire, mais elle est demandée pour tous les évènements organisés par l’Etat et par la fonction publique. Malgré la délivrance laborieuse des cartes de presse par l’Etat, il n’existe pas de restrictions légales pour pratiquer le journalisme en général, et les panélistes estiment que l’entrée dans la profession et les pratiques de ce marché ne peuvent être jugées comme restrictives au Cameroun. Le pointage: Notes individuelles: 1 Pays ne répond pas aux critêres d’indicateur 2 Pays couvre seulement quelques aspects d’indicateur 3 Pays répond à plusieurs critêres d’indicateur 4 Pays répond à la plupart des critêres d’indicateur 5 Pays répond à tous les critêres d’indicateur Moyenne de l’indicateur: 4.8 (2008 = 2.4) 1.7 Les sources confidentielles d’information sont protégées par la loi et/ou par les tribunaux. « A chaque fois qu’un journaliste passe devant la police ou la cour, c’est la première chose qu’on lui demande » 14 En ce qui concerne la confidentialité des sources, les panélistes estiment que la situation se résume à “donner pour mieux reprendre”. Par exemple, l’article 50.1 de la loi de la Communication Sociale établit la garantie et la reconnaissance de la confidentialité des sources. Mais la même loi autorise le juge à exiger cette source du journaliste sous enregistrement vidéo. “ A chaque fois qu’un journaliste passe devant la police ou la cour, c’est la première chose qu’on lui demande” dit l’un des panélistes. BAROMETRE DES MEDIAS AFRICAINS CAMEROUN 2011