En 2009 et en 2013, certains indicateurs ont été remplacés pour tenir compte de l’évolution du paysage médiatique. Par conséquent, dans certains cas, la comparaison des indicateurs de rapports précédents n’est pas applicable (n/a), cet indicateur étant nouveau ou ayant fait l’objet d’une modification considérable. La somme des notes individuelles pour un indicateur est divisée par le nombre de panélistes afin de déterminer une note moyenne pour chaque indicateur. Ces notes moyennes par indicateur sont additionnées pour obtenir la moyenne du secteur. Résultat Le rapport qualitatif final est un résumé de la discussion et indique également les notes moyennes pour chaque indicateur, secteur et la note finale du pays. Les panélistes ne sont pas nommément cités dans le rapport afin de les protéger des éventuelles répercussions. Les rapports peuvent être utilisés comme un outil pour une éventuelle discussion politique sur la réforme des médias. Dans les pays où l›anglais n›est pas la langue officielle, le rapport est une édition bilingue. En facilitant la tenue des baromètres des médias, la FES et la MISA dans les pays de la SADC ne sont que des “convocateurs” du panel et des garants d’une méthodologie standardisée. Le panel est responsable du contenu de la discussion et du rapport qui ne représente pas ou ne reflète pas forcément les points de vue de la Friedrich-Ebert-Stiftung ou du MISA. À la fin de 2018, le BMA avait déjà eu lieu dans 31 pays africains, dont certains d’entre eux pour la cinquième fois. Luckson Chipare Directeur Regional Institut des Médias d’Afrique du Sud Windhoek, Namibia 3 BAROMÈTRE DES MÉDIAS AFRICAINS BÉNIN 2018 Sara-Nathalie Brombart Directrice du projet fesmedia Africa Friedrich-Ebert-Stiftung Windhoek, Namibia